
Le bitcoin futures ETF de Valkyrie Funds a été lancé sur le Nasdaq le vendredi 22 octobre. Le fonds négocié en bourse a échangé 10 millions de dollars dans les 5 premières minutes. Valkyrie suit exclusivement la valeur du marché à terme BTC du Chicago Mercantile Exchange (CME).
BTF est le deuxième ETF stratégique sur le bitcoin à obtenir l’approbation de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Cela fait suite au lancement par ProShares de son produit BITO, qui a fait ses débuts à la Bourse de New York (NYSE) il y a trois jours.
D’autre part, l’ETF ProShares a démarré aujourd’hui avec 30 millions d’échanges. « Vous devez être satisfait de cet écart si vous êtes dans le BTF, même s’il sera difficile de suivre« , a déclaré Eric Balchunas, analyste chez Bloomberg, sur Twitter.
$BTF up and running with a healthy $10m traded in first 5min, $BITO is at $30m. You have to be happy with that spread if you are $BTF, will be tough to keep up tho pic.twitter.com/03b3PCEsTx
— Eric Balchunas (@EricBalchunas) October 22, 2021
Par son commentaire, l’analyste signifie que le produit de Proshares a définitivement un avantage dans le jeu en raison de son approbation précoce. Mais il pense aussi qu’après tout, BTF a commencé avec l’espoir de conquérir le marché.
Le premier ETF sur le bitcoin (BTC) lancé aux États-Unis a dépassé le milliard de dollars échangé le premier jour de sa cotation à la Bourse de New York (NYSE).
If $BITO keeps up this pace of inflows it wont have any futures left to buy by the end of the month due to pos limits (via rough back of envelope calc w/ @JSeyff ). https://t.co/KauFuaPzhb
— Eric Balchunas (@EricBalchunas) October 21, 2021
Depuis son lancement, l’ETF bitcoin BITO a enregistré des performances remarquables. En fait, Balchunas lui-même a fait remarquer que si le rythme des flux entrants se poursuit, il n’y aura plus de contrats à terme à acheter d’ici la fin du mois en raison des limites de position. En effet, ce premier fonds négocié en bourse est en passe de dépasser la limite du nombre de contrats que le Chicago Mercantile Exchange l’autorise à détenir.